Oxmo Puccino nous revient après son "opéra", 1er album où les histoires de mafiosi et les scénarios dignes de Hollywoood étaient récurrents. Cette fois l’ambiance est différente puisque le Black Mafioso se transforme en poète et essaye de nous expliquer avec sa vision à lui ce que sont devenus l’amour et le comportement des humains en général, même si l’ambiance criminel est toujours présente sur certains morceaux. Pour cela il use de métaphores che-lous et mystiques que j’ai franchement pas toutes comprises et nous fait rentrer dans son univers. L’atmosphère bizarre qui règne fait que cette album est mitigé et que soit on peut le kiffer, soit on peut le détester. Le résultat est donc mi-figue mi-raisin, les textes ne sont pas super conscients mais originaux et efficaces. Mais on ne peut pas enlever un certain éclectisme et l’originalité de cette opus, cette dernière étant un qualité plus qu’utile dans le paysage rapologique français actuel assez uniforme.