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Des Racistes
On le sait, le football est par essence universel et pratiqué aux quatre coins du monde, par des joueurs de toutes les origines. Mais en tant que miroir de la société, il n’échappe pas au racisme, notamment par le biais de certains supporters qui parfois déversent leur haine dans les stades. Les footballeurs eux-mêmes ne sont malheureusement pas exempts de ce fléau. Et même s’il est difficile de déterminer si une personne est fondamentalement raciste, retrouvons l’équipe-type des joueurs ayant franchi la ligne rouge avec des déclarations ou des actes à caractère raciste. Voici donc le onze de la honte, celui dans lequel il fait bon de ne pas figurer.
 Christian ABBIATI : Si le fascisme n’est pas forcément originellement une théorie racialiste, une fois au pouvoir en Italie il l’est devenu, notamment suite à son ralliement au nazisme dans la fin des années 30. Tout cela n’a pas empêcher l’inoxydable gardien milanais de déclarer naturellement : "Je suis fasciste" et qu’il partageait les valeurs de cette doctrine. Si Abbiati s’en gargarise, d’autres joueurs italiens plus discrets comme Aquilani ou De Rossi, semblent du même avis. Sans parler évidemment d’un certain Di Canio...
Jelle VAN DAMME : Mai 2009, le Standard de Liège reçoit Anderlecht pour un choc de la Jupiler League. On assiste à un match dans le match entre les 2 colosses Van Damme (1.94m) et Onyewu (1.95). Duel qui part en vrille quand le premier traite à 3 reprises le second de "sale singe". Onyewu portera plainte contre Van Damme puis la retirera suite aux excuses de ce dernier.
John TERRY : Malgré sa respectable et éternelle fidélité à son club de Chelsea, ce grand salopard de Terry aura à peu près fait tout ce que la morale réprouve (infidélité, alcool, bastons etc.). Irrémédiablement, il est aussi passé par la case "scandale raciste" en traitant Anton Ferdinand (frère de Rio) de "fucking black cunt". De la même veine que Luis Suarez.
Josip SIMUNIC : Déjà connu pour avoir pris 3 cartons jaunes (!) en un match, le défenseur croate a trouvé un moyen encore plus sale pour se faire remarquer. Tout content de fêter la qualification de la Croatie à la prochaine Coupe du Monde au Brésil, il a entonné avec ses supporters un chant traditionnel des Oustachis, le parti pro-nazi croate au pouvoir lors de la Seconde Guerre Mondial. Nostalgie quand tu nous tiens...
Michel MORGANELLA : Suite à la défaite de la Suisse contre la Corée du Sud aux JO 2012, le latérale helvète s’est fendu sur Twitter d’un cinglant : "Je fons-dé tous les coréens, allez tous vous lés-bru. Ahahaha deban zotre (ndlr : bande de triso)". Il est ensuite logiquement exclu des Jeux. Avant Twitter c’était bien, on fermait sa gueule.
Emmanuel FRIMPONG : Comme son homologue suisse, c’est pour un dérapage 2.0 que le milieu ghanéen d’Arsenal se retrouve ici. En effet, le Gunner n’a rien trouvé de mieux que de répondre à une provocation d’un supporter de Tottenham en balançant ce twit : "Scum Yid" ("salaud de youpin" en VF). Classe...
Lee BOWYER : Lee Bowyer ou le portrait-robot du bon vieil anglais un peu alcoolique, un peu raciste et toujours prompt à la castagne. Tout ceci est bien résumé par son arrestation pour avoir tabassé un étudiant pakistanais. Bowyer est aussi resté dans les mémoires pour s’être tapé avec un coéquipier en plein match. Il s’agissait de Kieron Dyer, noir de son état. Un hasard ?
EMRE Belozoglu : Déjà coupable d’injures racistes envers 3 joueurs noirs d’Everton (Howard, Lescott, Yobo) lors d’un match de 2007 avec Newcastle, Emre a remis ça fin 2012 avec Fenerbahce. Lors de la confrontation contre Trabzonspor, c’est cette fois à Zokora que le meneur de jeu turc a exprimé son amour de la couleur ébène en le traitant de "sale nègre". Ça va être dur de plaider l’innocence à force.
Giorgos KATIDIS : L’ex-pensionnaire de l’AEK Athènes est mystérieux. Anti-Aube dorée, amateur de rap gangsta et inculte de son propre aveu, il n’en demeure pas moins que c’est d’un salut nazi qu’il célèbre son but victorieux contre le FC Veria. L’ignorance n’excuse pas tout.
Paulo DI CANIO : Sans discussion possible, le leader de cette équipe. Car si ses coéquipiers plaident parfois la bêtise, la pression ou l’ignorance pour justifier leurs actes immondes, Di Canio lui les assume, voir les revendique. Ouvertement d’extrême droite, l’enfant de la Lazio aura traîné sa rage/haine en Italie et en Angleterre. Saluts fascistes, tatouage Duce sur le bras, embrouilles en tout genre : Di Canio est le mauvais garçon par excellence. Il prodigue désormais ses conseils et ses "valeurs" sur un banc de touche, même s’il vient récemment de se faire virer par Sunderland.
Luis SUAREZ : Si le joueur fait partie des meilleurs attaquants du monde, l’homme est plus contestable. Son caractère de chien enragé lui fait parfois franchir les limites. Demandez à Evra ce qu’il en pense, lui qui a été victime de ses insultes racistes. L’attaquant uruguayen, déclaré coupable par la FA, s’est ainsi vu infliger 8 matchs de suspension (record personnel qu’il a battu 1 an plus tard en prenant 10 matchs pour avoir mordu le Serbe Ivanovic).
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Messages de forum
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par NoUseForAName - 20/10/2014 00:09
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Déjà faut s’entendre sur le terme "racisme". Je pense pas que ces joueurs considèrent qu’il existe une race supérieure par rapport à une autre... C’est plus de la connerie qu’autre chose. Et dans cette catégorie, Di Canio est le roi des cons.
LAZIO MERDA ^^
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par cool123 - 25/08/2014 16:43
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moi je suis sur qu’il et pas raciste
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par gaal game - 04/07/2014 13:33
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Et fernando torres "il avait dis a drogba, qui s en faire expres a fait tomber sa bouteille d’eau
, retourne dans ton pays "
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par yamsha - 27/04/2014 12:19
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Milan Baros
Manque les espagnols aussi
cesc fabregas, busquet
côté supporters (une partie) italiens, espagnols ...
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par nicolas - 26/01/2014 17:06
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suarez est pas raciste vue comment il est ami avec sturidge et sakho...
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par nico1970 - 15/02/2014 10:26
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il la insulter de négro sa arrive a tout le monde detre énerver et dire des choses qu’on pensse pas
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