"Le Dopage n’existe pas dans le Football" : Platini, Blatter et la clique des hautes instances footballistiques ont parfois de la merde dans les yeux. Cette équipe-type des dopés en est la preuve, sans même parler de tous les cas passés sous silence. Car pendant ce temps-là, Jordi Alba continu de sprinter de la première à la dernière minute...
Entraîneur : Antonio Conte
Harald SCHUMACHER : L’Allemand le plus haï des français de 1946 à nos jour, n’as pas que le scalp de Battiston à son palmarès. Il a aussi avoué dans son autobiographie parue en 87 qu’il ne marchait pas qu’à la bière fraîche mais aussi à l’éphédrine.
Abel XAVIER : L’homme pour qui les contrôles anti-dopage n’était même pas nécessaire. Un simple regard sur ses œuvres capillaires suffisait à comprendre que le défenseur portugais prenait quelque chose. Suspendu 1 an pour prise de stéroïdes.
Fernando COUTO : La muraille portugaise n’était pas faite que de ciment et de volonté inébranlable. Comme l’a prouvé un test antidopage positif à la nandrolone en 2001 avec la Lazio. En même temps, à cette époque, fallait bien rivaliser avec la Juventus.
Fabio CANNAVARO : Jamais pris, le beau Fabio nous laisse quand même en héritage de sacrés doutes et surtout cette magnifique vidéo, que nos amis marseillais n’ont certainement pas oublié :
Marko REHMER : En voulant (soi-disant) soigner une sinusite, le joueur du Herta Berlin prend une substance interdite et se fait sanctionner par sa fédération. Accessoirement, Rehmer est un sportif élevé en Allemagne de l’Est...
Edgar DAVIDS : Il était physique, il était technique, il était stylé, il était hargneux, il était défensif, il était offensif. Mais il était dopé. En tout cas, la patrouille le rattrape lors de son passage à la Juve en 2001 (grand laboratoire pharmaceutique à cette époque, cf. l’entraîneur de notre onze).
Diego MARADONA : On a déjà tout dit sur le Pibe de Oro, son talent unique et ses frasques. Pour le plaisir, nous vous proposons 2 photos savoureuses. L’une (en haut de la page) où il arbore fièrement un maillot barré de l’inscription "No Drugs" et l’autre (ci-dessous) où on le retrouve en 1997 avec son coach personnel de l’époque, un certain Ben Johnson...
Josep GUARDIOLA : Même Pep le gendre idéal a eu droit à un contrôle positif lorsqu’il débarque à Brescia, après sa décennie de succès à Barcelone. Il sera ensuite relaxé pour raisons médicales.
Al-Saadi KADHAFI : Certains se dopent pour consolider leur performance, d’autres car ils n’ont pas le choix : c’est ça où le niveau district. Dans la famille Kadhafi, je demande le fils. En tout état de cause, le libyen ne réussi pas à tromper son monde très longtemps et l’imposteur repartira de Pérouse aussi vite qu’il est arrivé.
Adrian MUTU : L’attaquant en a vu des vertes et des pas mures dans sa carrière avant de poser ses valises à Ajaccio. Il aura réussi la performance d’être suspendu à 2 reprises pour prise de drogue et de produits dopants. Avec comme cerise sur le gâteau, la compensation financière qu’il doit verser à Chelsea : 17M€. Le Kerviel roumain.
Christophe DUGARRY : Avant de donner des leçons derrière le micro de Canal+, n’ oublions pas que le plus mal aimé des Bleus champions du monde avait été contrôlé positif à la nandrolone en 1999. C’est seulement grâce à un vice de forme qu’il s’en sort, le médecin chargé du contrôle n’étant pas assermenté. Scandale.
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Message
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Tout les joueurs sont pareils tous a ce dopés